Cher M Arkor.
J'ai bien eut vent de votre dernière missive, et je vous remercie de m'avoir fait profiter de votre prose si chère à mon oeil néophite.
Concernant notre petite affaite "Thyros", je me ferai, bien evidement, un réel plaisir d'inviter notre ami commun au coeur de la plus belle suite de mes geoles. Il y trouvera une compagnie efficace et entreprenante, n'hesitant pas à mettre la main à la pate pour ce qui est d'huiler des boulons placés dasn des endroits à la réputation inaccecible.
Votre dévoué.